ÉPISODE 3 : MISE EN PEINTURE DES OEUVRES MORTES

On se refait une beauté

Tant qu'à faire, puisqu'il y a des retouches de peinture à faire sur les oeuvres vives, nous décidons de casser notre tirelire et demandons au chantier d'effectuer également la réfection des peintures des oeuvres mortes. Nous sommes au printemps 2001. Après décapage, les multiples têtes de clous qui commençaient à pointer sont enlevées et mastiquées. 2 couches de primaire epoxy bi-composants sont passées sur les oeuvres mortes, elles-mêmes recouvertes par 3 couches de laque bi-composants. Nous en profitons pour faire poser la bande bleue caractéristique des plans Harlé (enlevée en 1995 lors de la réfection précédente des peintures). C'est beau.

Lou Cayoc après peinture (1) Non, ce bateau n'est pas en plastique !

Faut-il vraiment le remettre à l'eau ?

Lou Cayoc après peinture (1)

Et pour finir...

J'en profite pour poncer l'antidérapant du pont en prévision de son remplacement. Je découvre des infiltrations au niveau de la plage avant (à l'emplacement d'un piton qui a été enlevé il y a des années). C'est à cette occasion que j'ai découvert un produit miraculeux que je conseille à tous les amoureux (ou toutes les victimes...) des bateaux en bois : l'epoxy liquide (j'en connais qui vont rigoler, mais qu'ils y viennent...!). Le tout est réparé rapidement, puis enduit au mastic epoxy bi-composants avant la pose de 2 couches d'antidérapant International ("enrichi" avec de la poudre de silice).

Haut de page
Cabernet on the Ouaibe © JY Besombes