L'eau | |
Le reste... | |
Je me souviens d'une soirée mémorable sur un bateau ami près duquel nous avions mouillé. En fait, le mouillage était si peu sûr (les courants étaient totalement aléatoires) que nous étions montés à bord sans annexe, par rencontre de bateaux. Nous avions apporté du whisky écossais (du bon) et l'ami avait son whisky local (du qui tâche). Au bout de 2 heures, nous chantions avec entrain, nos bouteilles étaient quasi vides, et nous n'avions toujours pas dîné. Quand il a fallu regagner notre bord et mouiller de nouveau (et deux fois de suite), j'étais à la barre, et je me suis sérieusement demandée ce qui arriverait si l'un de nous tombait à l'eau (glacée, à courants), dans notre état ... Je ne remercierai jamais assez le plaisancier qui nous surveillait ostensiblement, à l'ancre 1/2 mille plus loin. Ce cas est l'exception : nous sommes sobres à la mer, c'est une question de prudence.
Peu importe de rouler sur le pont quand on est au port, mais la croisière exige de garder toute sa clairvoyance.
Nous avons constaté que le vin rouge s'améliorait plutôt après quelques mois de stockage (donc roulis et tangage) sur le bateau, avis aux amateurs ...
Naviguant en Bretagne (Nord en particulier), nous rencontrons de très bon cidres (mais ne pas en abuser si l'on veut digérer en paix).
C'est sacré (avant le repas). Nous préférons le whiskey irlandais le plus doux. En l'absence de glacière, je n'apprécie pas outre mesure le vin blanc ou la bière, mais chacun ses goûts...
Les jus de fruits en petits bricks sont pratiques car faciles à stocker.
Voir rubrique "avitaillement". On ne prévoit jamais assez d'en-cas.
Quand on s'invite, on apporte quelque chose à boire ou à manger, donc quand on invite, mieux vaut savoir ce que les invités apportent, pour prévoir son repas. L'invitation à l'apéritif permet d'éviter ces soucis.